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fabien75fabien@yahoo.fr Jérém&Nico jeremXnico pour participer à cette aventure
Après cette belle expérience devant le miroir, après une deuxième partie de semaine passée dans l'attente, hélas déçue, qu'il m'invite encore réviser, je me retrouvai à devoir traverser un autre week-end sans lui. Le vendredi soir, je gardai mon portable tout près de moi, vérifiant toutes les minutes si jamais un message était arrivé… qu'on me dise si on peut être con à ce point... désormais il avait mon 06… il aurait pu s'en servir si l'envie lui en prenait… Je savais que c'était espérer pour rien, je savais que ce soir il sortirait en boite avec ses potes et je savais ce qui se passait en général lors des sorties du week-end... il m'était arrivé deux ou trois fois de me retrouver à des soirées où il était présent et je savais à quel point il avait le choix des fesses entre qui terminer sa soirée. Ou bien, juste le choix des nichons entre lesquels se perdre pendant un moment pour agrémenter sa sortie, entre deux bières.
Un soir de l'été précédent, je m'étais retrouvé à une fête de village où il était également présent… Jérém était célibataire à l'époque. Deux fois je le vis disparaître dans le noir, et jamais avec la même gonzesse ; il revenait une demi heure plus tard avec la nana en question, nana qui du coup affichait sur son visage une expression entre le ravissement de s'être tapé le mec le plus canon du lycée et l'humiliation de ne pas réussir à cacher l'émoustillement qui encore la travaillait; les yeux baissés, elle passait du noir à la lumière des guirlandes lumineuses, pour partir retrouver ses copines. Jérémie revenait vers ses potes sans ciller, il reprenait une bière avec eux, comme si de rien n'était, comme s'il revenait de pisser un coup. Sous la musique assourdissante de la fête, je voyais Thibault ou un autre de ses potes lui chuchoter quelque chose à l'oreille; Jérémie lui répondait un truc qui avait l'air drôle ou bien salace, car à la fin je les voyais toujours rigoler, s'échangeant entre eux le regard complice, le sourire fripon des mecs coureurs; je voyais sur son visage cette expression coquine que je lui connaissais désormais de plus près… Une fois je remarquai juste au dessus du col de son t-shirt moulant une trace de rouge à lèvres… putain de mec… rien que de voir sa sexualité ainsi évoquée, mon érection devint incontrôlable et je dus m’éloigner dans un coin sombre pour me soulager à la main.
Non, ce vendredi là mon portable ne reçut pas d'sms. Le samedi matin je me réveillai non seulement avec une trique d'enfer mais avec une envie débordante de le voir...
I can't help falling in love, I fall deeper and deeper the further I go… Les enceintes de ma chaîne envoyaient à plein décibel, au point que ma mère, très loin d'en comprendre le sens général et encore moins le sens particulier qu'elle avait pour moi, incommodée par le volume, me demanda d'arrêter illico mes conneries.
Mes conneries… elle ne savait pas si bien dire… oui, mes conneries, si on admet que cette chanson illustrait bien, trop bien, ce qu'était ma vie à ce moment là, ma relation avec Jérém…
Du sexe, encore du sexe, rien que du sexe, et de plus en plus loin… du sexe, certes fabuleux, du sexe qui me comblait pendant l'action mais hélas, sans amour ni tendresse… Madonna, mon héros…Madonna, la seule femme que j'aurais toujours... aimé connaître vraiment…
Madonna me remonta le moral en début de matinée, Mylène l'enfonça vers midi… envoie, envoie, toi que j'aime, dis moi quand ça ne va pas… C'est marrant comme cette débordante envie de mec, ce furent des nanas que je chargeai de tenter de l'apaiser...
Ce fut en suivant cette envie, ravivé par certaines images de nos galipettes qui remontèrent à mon esprit en écoutant trop attentivement L'âme-stram-gram, que je décidai de proposer à ma cousine de m'accompagner voir le match de rugby dans après midi. Je savais qu'elle y allait parfois avec des copines; elle accepta, bien qu'un peu étonnée d'une telle proposition émanant de son cousin, cousin qu'elle savait s'intéresser au sport comme un camionneur au tricot...
Quand nous arrivâmes au stade, le match venait tout juste de commencer. L'équipe de Jérémie affrontait celle d'un village voisin et le match s'annonçait très serré pour les deux équipes. Pour gagner, il allait falloir mouiller le maillot. Arrivés au plus près du terrain, je commençai à chercher le beau brun avec impatience. Ma cousine fut plus rapide que moi.
Le voilà le beau gosse! - je l'entendis lâcher.
De qui tu parles?
De Jérémie T, qui d'autres? C'est le plus beau!
Je le repérai enfin sur le bord du terrain, le ballon à la main en train d'écarter ses adversaires qui tentaient de l'arrêter. Serré dans son maillot blanc numéro 11, avec des finitions rouges vif aux manches, au col et sur les flancs, le short blanc aussi, Jérémie était toujours sexy. Quand je dis que tout tout tout lui allait... Le t-shirt n'étais pas particulièrement moulant, mais sa façon de le porter, le col grand ouvert, les manchettes serrées autour de ses biceps musclés, juste au dessus du niveau de son brassard; et si on ajoute à ce coté purement esthétique l'attitude qui était la sienne pendant le jeu, une attitude déterminée et fonceuse, celle du mec qui ne lâche rien, son esprit tout entier concentré dans l'action, tout cet ensemble de choses donnaient à cette "uniforme" et surtout à sa façon de la porter et de lui faire honneur, une charge masculine envoûtante.
Ma cousine avait raison, Jérémie était tout simplement le plus beau et même cette tenue lui allait bien et lui portait avantage, malgré ces chaussettes blanches à mi jambes qui cachaient ses jambes et ses beaux mollets musclés et légèrement poilus, chaussettes qui étaient de surcroit un véritable tue l'amour. Car, en plus de la beauté et du charme, force était de constater que ce mec avait en lui ce truc qu'on appelle la classe: c'était un truc inné qui se dégageait de lui tellement naturellement, qu'il était d'aplomb dans n'importe quelle tenue, à son avantage dans n'importe quelle situation.
Le match avançait et la pression montait au fur et à mesure que les minutes s'écoulaient et que les joueurs se rendaient compte de la difficulté de la tâche et de la puissance des adversaires respectifs. Je n'y connais vraiment pas grand chose au rugby, mais j'avis de plus en plus l'impression que Jérémie était dans le jeu ce qu'il était dans la vie: un jeune premier, le pilier de l'équipe ; son jeu alliant puissance physique et technique, c'était vraiment beau le voir évoluer, tout en vivacité : rapide, véloce et malicieux, le bel ailier était désespérément athlétique, se servant magistralement du raffut pour écarter ses adversaires de sa route vers son but ultime, celui de marquer.
Le rugby avait beau être pour moi matière aussi inconnue que la sexualité des filles, j'avais quand même l'impression que les joueurs de l'équipe adverse se jetaient à la poursuite de Jérémie avec un certain acharnement et une brutalité qui lui étaient exclusivement réservées. Un des joueurs de l'autre équipe, surgi de nulle part, se rua sur lui comme un boulet dans un jeu de quilles: il arriva ainsi à dégommer le bel ailier, à arrêter sa course et à le plaquer au sol.. Ma cousine émit un petit cri. L'impact avait été si violent que Jérémie n'arriva pas à se relever tout de suite : allongé sur le dos sur le bord du terrain, les genoux pliés, sa poitrine se soulevant rapidement, sur le visage une grimace de douleur qui avait l'air d'être plutôt intense.
Putain de sport de brute, sans aucun intérêt à mes yeux si ce n'est celui de produire des physiques comme le sien… putain de sport à la con, quand on voit ces apollons se cogner sans ménagement a lors qu'on les verrait bien plus volontiers en train de faire l'amour entre eux… vraiment le rugby n’a qu'un seul et unique intérêt : les rugbymen dans les vestiaires ou sous les douches, au pire sur le papier glacé d'un calendrier...
Ses coéquipiers s'étaient agglutinés autour de lui et le médecin avait été appelé. Un instant après, avec l'aide de Thibault, que je savais être son meilleur pote, il arriva enfin à se relever et à marcher en boitant, se tenant les côtes comme un mec qui a mal...
Malgré l'accident, Jérémie retrouva vite sa détermination dans le jeu: puissant, souple, doté d’un sens de l'équipe hors du commun, Jérémie était un magicien, un créateur de jeu. En plus de ses qualités de joueur assez exceptionnelles, il savait faire participer toute l'équipe à une action et mettre en valeur le jeu de chacun. Jérémie était également remarquable pour ses qualités de meneur d’hommes : et c'est pour cela qu'il était capitaine de l'équipe.
La mi-temps arriva à point nommé. L'équipe adversaire menait le match. Mes yeux se posèrent une fois de plus sur Jérémie: il avait le regard soucieux, le physique fatigué et endolori... sa respiration était rapide, essoufflée... comme dans d'autres situations, bien plus agréables pour moi...et pour lui aussi... Je me rendais compte à ce moment là que le fait de le voir jouer entouré de ses copains, de voir ses exploits, de voir toutes ces nénettes au bord du terrain en train de le mater et de se demander ce que ça ferait de se faire baiser par ce canon de mec, ça faisait encore monter mon envie de lui.
Il est incroyable ce mec - reprit ma cousine, rêveuse - beau comme un dieu et si bon joueur, vraiment il a tout pour lui...
Tu es amoureuse de lui? - j'arrivai à blaguer.
Quelle fille n'est pas amoureuse de Jérémie T?
C'est ça, et les mecs, les chiens, les chats aussi... - je plaisantais.
Ça ne m'étonnerait pas qu'il plaise aussi aux mecs... - rétorqua-t-elle.
Je crevais d'envie de lui dire...et puis merde... excité comme je l'étais à ce moment là, je décidai de me jeter à l'eau...
Tu sais ma cousine, il me plaît à moi aussi...
C'est ça...
Je blague pas... il me plaît depuis la sixième...
T'aimes les mecs?
Oui, et Jérémie en particulier...
Mais tu sais bien que c'est une mec à nanas... tu sais qu'il a couché avec la moitié des filles du lycée...?
Oui, je sais bien mais...
Mais quoi...
Mais depuis quelques semaines je l'aide à réviser les maths...
Et donc...? - fit-t-elle, la mine mi amusée mi déconfite, semblant au même temps attendre et redouter la suite qui s'annonçait à ses oreilles.
Et donc… depuis on couche ensemble...
Tu déconnes...
Je fis signe de non avec la tête, en souriant de l'étonnement de ma cousine.
C'est pas possible... Il n'est pas homo...
Mais non, il est tout ce qu'il y a de plus hétéro... mais apparemment je lui fais des trucs que les nanas ne font pas...
Ça, c'est de la concurrence déloyale...
Tout à fait...
Tu l'as dragué?
Tu rigoles?... jamais je n'aurai osé tenter quoique ce soit, surtout avec lui, il m'impressionnait trop... non, c'est lui qui m'a fait du rentre dedans...
Il avait picolé?
Non, je ne crois pas, il avait juste envie d'essayer un nouveau truc...
Et depuis il y a pris gout?
Je crois bien...
Alors là, cousin, tu m'en bouches un coin... aujourd'hui tu m'apprend non seulement que tu aimes les garçons mais que de surcroît tu couches avec le mec le plus canon du lycée...
Tu sais, Élodie, ce n'est que sexuel entre nous...
Alors là, cousin, pour lui c'est sur, mais pour toi, te connaissant un peu, permet moi d'en douter...
Je lui souris, touché.
Tu es amoureux mon cousin?
Je ne sais pas... je ne crois pas... il prend son pieu, je prend mon pieu, j'évite de me poser des questions. Je sais qu'il est hétéro, qu'il est bien trop jeune et qu'il est bien trop sollicité pour se fixer...
Fais attention, Nico, protèges toi pour ne pas souffrir...
C'est ce que j'essaye de faire depuis le début - je répondis à ma cousine. Elle me sourit affectueusement.
Les équipes entraient sur le terrain pour la deuxième mi temps: le public, surtout celui féminin, faisait du bruit autour de nous, ce qui m'autorisa à mettre un terme, du moins pour l'instant, à cette conversation.
Je ne l'ai dit qu'à toi, Élodie – j'eus besoin de lui dire – car je sais que tu vas le garder pour toi.
Bien sûr, Nico...
Le jeu reprit. Malgré les douleurs aux côtes à cause du plaquage brutal de tout à l'heure, Jérémie demeurait puissant, agile et surtout, totalement imprévisibles, arrivant à semer la zizanie dans la défense adverse. Lorsque Jérémie prenait la balle, quelque chose se passait. Il arriva à marquer à plusieurs reprises et à remettre le score de son équipe devant celui des adversaires. Jérémie était une véritable machine à marquer. Parfois on avait l'impression qu'il marquait comme il respirait et que, s'il l'avait voulu, il aurait pu faire de ce sport bien plus qu'un loisir: évoluer vers des sélections officielles et intégrer des équipes qui auraient pu l'amener loin, très loin...
L'équipe de Jérémie avait fini par gagner, mais ça n'avait pas été une mince affaire. L'autre équipe ne s'était pas laissée faire, elle n'avait rien lâché jusqu'à la dernière minute. Toute l'équipe avait souffert, et Jérém avait eu largement son lot de coups et de bleus. Certes, c'était lui le meilleur joueur de son équipe et donc, l'homme "à abattre"; ceci étant, je ne pouvais pas m'empêcher de me demander si certains mecs de l'équipe adverse ne profitaient pas du jeu pour régler certains comptes, pour assouvir, sous couvert des aléas de l'action, certaines envie de cogner ce beau mâle, trop bon sur le terrain et vraiment trop populaire auprès des nanas...
Le match était fini et les deux équipes quittaient le terrain. Bien que je n'eus pas pu détacher mon regard de sa silhouette pendant toute la durée e la compétition, pas une seule fois je n'avais croisé son regard. Mais là il traversait le terrain avec ses copains pour saluer l'autre équipe et il venaient dans notre direction, avant de se diriger vers les vestiaires.
Pendant un court instant je croisai son regard. Mon cœur bondit dans ma poitrine quand il sembla lâcher un petit clin d'œil dans ma direction. Je le vis continuer vers le bâtiment des vestiaires... et là, nonchalamment, il eut un geste dont il ne devait pas mesurer toute la portée: ses muscles chauffés sous l'effort de la fin de match, il avait visiblement chaud; son maillot mouillé, au sens propre comme au sens figuré, Jérémie eut envie de s'en débarrasser: il le fit d'un geste désinvolte et très viril, dévoilant ainsi au public son torse magnifique et moite, ruisselant de sueur; il s'essuya ensuite le front, dégoulinant de transpiration, avec ce même maillot. Putain, on aurait dit une pub pour coca cola... ce genre de pub où un ouvrier en train de travailler se fait reluquer par des gonzesses en rut; évidemment, il s'est rendu compte de rien, l'innocent... alors, à un moment il décide de faire une pause et de s'envoyer une canette de coca... il ouvre ladite canette et la pression fait qu'un jet de coca se déverse sur son t-shirt moulant déjà par ailleurs bien imprégné de sa transpiration... quoi faire alors? il décide de l'enlever pour le faire sécher, en dévoilant par la même occasion ce que ces garces mouraient d'envie de reluquer, à savoir son beau torse musclé, ses abdos saillants genre tablettes de chocolat, ses pecs... Bon, Jérémie a sauté pas mal d'étapes, nous livrant uniquement le final de cette pub...
Quand je pense que c'est moi qui me tape ça...
Un spectacle renversant, devant un public hypnotisé... A partir de ce moment là, tout a basculé. Les filles sont devenues intenables... des réflexions de tous genres sur ce physique, sur son petit short... certaines ont même osé sortir leur appareil photo et lui demander de poser... Avec son sourire séducteur comme seule réponse, Jérém continua sur son chemin en direction des vestiaires avec le reste de l'équipe.
Scandaleusement beau, outrageusement charmant : on avait presque envie de le gifler, de le sanctionner d'être à ce point mignon… Je m'imaginais m'en charger… Monsieur, vous êtes sanctionne par un retrait de 6 points sur votre permis de séduire… si vous continuez dans cette voie, vous n'allez pas tarder à vous le voir retirer… votre amende s'élève à 90… minutes de baise avec l'officier qui est en face de vous !
Enfin, mec, merde...fais gaffe quand même, c'est comme ça qu'on provoque des émeutes...
Je ne pus le quitter du regard jusqu'à que je le vis disparaitre dans les vestiaires... qu'est ce que j'aurai donné pour avoir le droit de m'y faufiler en douce... Par chance, ma cousine croisa des copines à elle et je profitai de cette occasion pour lui annoncer que j'allais rentrer. Mon départ n'eut pas l'air de la déranger, toute prise dans les retrouvailles avec les filles; j'évitai ainsi la suite de la conversation, suite qui s'annonçait certes inévitable à terme mais que je n'avais pas franchement envie d'affronter à ce moment là.
En rentrant seul, je pensais évidemment à Jérémie et à la soirée qui l'attendait: la troisième mi temps allait bientôt commencer et elle aurait débordée sur une grande partie de la nuit ; les troisièmes mi temps attirent des nanas à gogo et mon bel ailier n'aurait eu qu'à dégainer son regard de braise, son sourire charmeur, lancer un clin d’œil pour en lever plus que lui en fallait pour satisfaire son appétit.
Pauvre Anaïs qui repartait à Bessieres pendant le week-end… Je savais qu'il n'aurait pas besoin de moi, pas plus qu'il n'aurait eu besoin d'elle, pour faire tomber sa queue ce soir, mais cela n’empêcha pas de me coucher à pas d'heure en attendant une nuit de plus un sms qui ne vint pas.
Le dimanche après midi fut carrément insupportable, l'ennui et l'envie de rien faire se mêlant à mon désir inassouvi de me faire prendre par Jérémie et aux fantasmes que je me faisais de ses sauteries du week-end. Je repensais à ce qu'il m'avait dit le lundi deux semaines plus tôt « non, pas de révisions aujourd'hui, trop révisé pendant le week-end». Putain de p'tit con ultra-sexy... saligot!
La branlette fut encore ma sauveuse ; elle me fit dormir le dimanche après midi, ce qui gâcha la nuit suivante. A deux heures trente, je ne dormais toujours pas, mon esprit tout entier tendu vers l'envie de retrouver ce mec...
I can't help falling in love, I fall deeper and deeper the further I go… Mon casque branché à ma chaîne envoyait cette chansons à plein décibel, au point que mes oreilles étaient sur le point d'exploser… la musique à fond, c'était la seule parade que j'avais trouvé pour faire taire mon envie de lui, ma tristesse...Madonna, mon héros… Oui, Madonna, la seule femme que j'aurai toujours voulu… être...
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fabien75fabien@yahoo.fr Jérém&Nico jeremXnico pour participer à cette aventure
La nuit avait été longue, mon corps s'évertuant à me faire payer la lubricité de la veille. Ainsi, j'avais eu longuement l'occasion de repenser à ce sentiment de vide qui m'avait cueilli avec violence une fois quitté la chambre de Jérémie. Je commençais à être accro à nos sauteries et je me disais que c'était trop beau pour que ça continue; toujours cette petite voix en moi... pourquoi il couche avec toi, alors qu'il y a plein de ti mecs qui coucheraient avec lui et qui sont canons? Maintenant qu'il y avait goûté, en plus, pourquoi s'en priverait-t-il?
Un autre pensée taraudait mon esprit cette nuit là... j'adorais me soumettre à son plaisir, à sa masculinité, à sa sexualité, à sa bite tout simplement; son jus, son odeur me rendaient dingue; j'adorais être sa pute, me laisser humilier pendant nos ébats, pendant l'excitation... mais quand c'était fini, putain, faut admettre que je me sentais... rabaissé, comme sali, et ce, surtout vis à vis de lui: je me disais que je m'enfonçais de plus en plus dans cette voie sans retour; j'étais de plus en plus le vide couilles d'un beau mâle, chose qui était un véritable fantasme, rêvé depuis toujours... J'aurai du en être comblé... et je l'étais, au plus haut point, pendant la baise... mais après, j'avais de plus en plus de mal à m'adresser à lui... je me sentais sale et par moment j'avais l'impression qu'il me méprisait et qu'il me jetait, comme un capote usagée...
Nos rencontres tournaient exclusivement autour du sexe, et une fois sa queue retombée, j’étais prié de me tirer... Je ne demandais pas d'être embrassé tendrement, mais au moins un peu d'égard. Un mot, un regard, je ne sais pas quoi, me montrer qu'il avait pris son pieu, que j'avais bien "œuvré", qu'il aurait eu envie de recommencer...un minimum de complicité...
A deux heures trente, juste avant de m'endormir, j'eus enfin un moment de lucidité. Nico, je me dis, tu te racontes bien de foutaises: la vérité c'est que tu es en train de t'attacher à ce jeune homme comme une moule à son rocher... juste la connerie à ne pas faire... mais comment résister à ce sentiment naissant, prenant racine avant tout dans cette alchimie sexuelle qui me rendait fou depuis le début, comment se protéger de ce sentiment de manque qui envahissait mon corps et mon esprit quand j'étais loin de lui?
Je le savais depuis toujours, j'étais un jeune homme sentimental, puceau jusqu'à là... que ce soit à niveau physique ou à niveau du sentiment de l'amour. Jérémie s'était déjà occupé de mon dépucelage physique... Je n'aurai pas tardé à me rendre compte que, surtout à 18 ans, il est chose inhumaine, imaginer de pouvoir séparer l'amour physique des sentiments...
Le lendemain de cette double sodomie, j'avais vraiment du mal à accomplir certaines tâches: marcher, m'asseoir, m'accroupir; le simple geste de faire pipi ravivait dans mon fondement cette douleur intense: rien d'étonnant, avec ce qu'il m'avait mis la dernière fois! Ses assauts lors de la deuxième pénétration avaient été si violents que j'en avais des courbatures partout dans le corps. Mes muscles s'étant crispés, surtout vers la fin, pour contrer la douleur grandissante que ses coups de reins m'infligeaient.
Ma tête avait toujours très très envie de lui, mais mon corps disait clairement non: rien que l'idée de me mettre à genoux pour lui tailler une pipe me semblait momentanément hors de ma portée. Tous mes efforts étaient concentré à cacher ma douleur physique et surtout sa localisation... et ce, surtout à Jérémie... je n'avais pas envie de flatter son ego en lui faisant entrevoir les "bienfaits" des passages répétés de son gourdin entre mes fesses, surtout avec la douleur qui était la mienne. Je ne lui reprochais rien, je l'avais voulu autant que lui, mais putain, je n'avais aucune envie de jouer à la pute soumise à ce moment là, j'avais juste envie que ça passe!
Ce jour là on s'échangea un simple bonjour, pour le reste j'essayais d'éviter de le regarder pour ne pas me faire du mal... une chemise noire superbement taillée complètement ouverte sur un t-shirt blanc col en V avec vue plongeante sur son cou puissant, dénudant une vaste portion de son torse à la peau ambrée, douce et rasée de près...putain de bogosse!
Ainsi, je ne cherchai pas à le rattraper quand je le vis s'éloigner dans un couloir du lycée et disparaître vers la sortie.
Ce soir là, ainsi que le lendemain, je n'eus même pas le courage de me branler tellement mon fondement était mal en point. Sa chemise, celle qu'il m'avait laissé la fois qu'il avait joui sur mon t-shirt, me tint compagnie dans mon lit. Il ne me l'avait pas réclamée et j'avais fait mine de l'oublier. J'adorais l'idée d'avoir chez moi un de ses vêtements, surtout qu'elle avait été portée et pas lavée depuis; surtout qu'elle était encore imprégnée d'un mélange de son parfum et de l'odeur de sa peau; et si le premier avait tendance à disparaître, voilà que son odeur de jeune mâle, lui, persistait; et il me faisait littéralement tourner la tête.
Le dimanche s'écoula sans relief, chargé d'ennui et d'attente de le revoir. La douleur entre mes fesses se calmait un peu, et je recommençais à avoir très envie de lui.
Le lundi matin je me réveillai plus en forme, avec une trique d'enfer et je me branlai pendant que mon réveil sonnait. Je retrouvais le beau Jérémie en cours, toujours aussi craquant, le torse moulé dans un t-shirt violet, col en V assez remonté, chaînette bien posé à l'extérieur, pendouillant de son cou...ce mec me rendait vraiment dingue!
Ce soir là il ne me sollicita pas non plus, le bougre.
Ce fut le lendemain, mardi, qu'il m'annonça entre midi et deux, et sans détour, qu'il avait envie de me sauter après les cours. Quand on me prend par les sentiments, je répond toujours présent.
Me voilà à nouveau à genoux devant sa silhouette imposante, lui torse nu, le jean et le boxer descendus à mi jambes, moi avec mon t-shirt blanc moulant qui en devenait presque une uniforme: j'avais cru comprendre qu'il aimait me voir dans cette tenue, alors je m'exécutais...
Mes lèvres autour de sa verge, ma langue affairée sur son gland gonflé à bloc... putain, que c'était bon de le sucer... Jérémie prenait son plaisir à fond, je le sentais gémir bruyamment. Le mec ayant compris qu'il existait une touche de mon anatomie qui avait le pouvoir de rendre encore plus magique ma fellation, voilà qu'il commença à parcourir le coton de mon t-shirt avec le bout de ses doigts à la recherche de mes tétons; quand il les trouva, il prit à les titiller, alternant caresses légères et pincements plus appuyés. Au fil de ses attouchements, mon excitation montait et fatalement l'allure de ma fellation changeait. Ça devait bien l'arranger car à un moment il fit un truc encore plus inattendu, il fit glisser sa main dans le creux de mon cou pour la faire passer ensuite entre le coton et la peau de mon torse: le contact avec ses doigts avec ma peau était à même temps doux et presque électrique et provoqua en moi une excitation qui me fit sursauter. Violemment emporté par ce qu'il faisait de ses doigts habiles autour de mes tétons, je le suçais de plus en plus avidement et le mec ne tarda pas à sentir sa jouissance venir.
Je la sentis venir aussi, attendant avec impatience l'arrivée imminente d'une bonne portion de jus dans ma bouche, mais Jérémie en avait décidé autrement: il sortit en effet sa main de mon t-shirt ainsi que sa queue de ma bouche, il se branla à peine et il cracha plusieurs jets de semence chaude sur mon cou. Je sentais son jus frapper violemment ma peau et dégouliner jusqu'au col de mon t-shirt, imprégner le coton et le coller à ma peau... Décidément ce mec avait des idées en matière de baise.
Il présenta alors sa queue à mes lèvres et pendant qu'il s'essuyait ses doigts sur le coton dans mon dos, je la nettoyai avec grand bonheur, trop heureux de retrouver un peu de son goût. Le pantalon remonté, il partit fumer sur la terrasse.
Il revint quelques minutes plus tard et se dirigea vers la salle de bain.
Mets toi à l'aise - me lança-t-il - garde juste le t-shirt, et viens me rejoindre.
Je me déshabillai en un éclair et j'allai le retrouver. Jérémie était complètement nu, la queue tendue, brun, jeune, débordant de virilité et de puissance, tout simplement beau.
Mets toi devant le miroir et penche toi au dessus du lavabo...
Le coquin avait envie d'une sodomie un peu spéciale...
Me voilà dans la position qu'il m'avait demandée, les jambes bien écartées, mon orifice intime offert à sa vue et à sa queue, me regardant dans le miroir, le haut de mon t-shirt trempé de son sperme, complètement soumis et totalement en demande de me faire baiser profond.
Je le regardais dans le miroir, il n'avais pas bougé. Il se branlait en me regardant, c'était beau à voir, mais mon cul réclamait son du!
Vas-y, demande, tu as envie de quoi? - décrocha-t-il après un long moment de silence.
J'ai envie de toi...
Tu as envie de ma queue bien profond ?
Oh oui, j'en ai vraiment envie, viens me mettre stp, beau mec!
Ça te plaît quand je te baise, espèce de petite salope...
Oh que oui, tu fais ça comme un Dieu...
Je vais te le démonter ton cul de salope...
Putain de mec, l'autre jour tu m'as vraiment cassé le cul...je t'ai gardé en moi pendant toute la semaine...
Tu mérites que ça, en plus tu kiffes que je t'en mette plein le fion...
Oui, oui, oui, viens stp, viens en moi, baise moi et envoie ta semence bien au fond...
Je vais te baiser, oui...
Il s'approcha enfin de mes fesses qu'il écarta avec ses deux mains et il fit glisser son zob entre mes globes. Avec des mouvements de bassin bien maîtrisés, il balada son gland dans ma raie avec plusieurs aller retour, passant et repassant sur mon ti trou, me faisant longuement languir, me laissant gémir de plaisir. Je n'en pouvais plus...
Jérém, prend moi, j'en ai trop envie...
Je te plais n'est pas?
Tu es le plus beau mec et sexy que je connaisse...
Tu aimes ma queue...
Je l'adore, elle me fait trop jouir!
Ah, je te fais jouir, comme une vraie salope?
Oh oui, mec, tu me fais jouir comme jamais j'ai joui...
Je te fais jouir du cul, c'est ça... dis le!
Oh oui, tu me fais vraiment jouir du cul... j'en ai trop envie là...
Tu vas pas regretter le détour...
Et là il retira sa queue, il l'enduisit de sa salive, j'en fit de même avec mon ti trou et il revint à la charge en posant son gland à l'entrée humide de mon intimité. Tout en écartant mes fesses avec ses mains, il poussa avec son bassin: mes chairs s'écartèrent et sa queue commença à glisser lentement en moi. Un instant après il était complètement en moi et je me sentais rempli de son sexe. C'était une sensation indescriptible. Dans un instant il aurait commencé à coulisser en moi, à me limer et plus tard il aurait inondé mon cul de ses jets chauds et parfumés. C'était l'idée du bonheur.
Cette position devant le miroir me permettait de tout suivre de ses mouvements, de ses expressions corporelles, de la virilité de son attitude.
Ça y est, il commença à me pilonner. Je le vois poser ses mains sur mes hanches, les serrer fermement pour donner plus d'élan à ses coups de reins. Son reflet dans le miroir me rendait dingue. J'avais adoré la fois précédente me faire prendre par devant pour voir le mec pendant l'action ; cependant, je dois avouer que pour moi le comble de la soumission est bien celle de se faire prendre par derrière, d'autant plus que les mecs semblent préférer cette position plus confortable pour la baise. Hors du regard de son vide couilles, le mec est vraiment libre d'œuvrer exclusivement pour son pieu à lui, sans être perturbé par le regard de l'autre, parfois difficile à soutenir quand il ne s'agit vraiment que de pure baise. Un mec qui te baise par derrière, pour moi c'est la plus vraie et authentique expression de sa quête du plaisir. Hélas, on arrive difficilement à regarder un mec qui te prend pas derrière... sauf devant un miroir...
Plié sur le lavabo, je le regardais en train de mettre ses coups de reins; j'avais une vision presque complète de son torse, je ne ratais rien des mouvements de sa petite chaîne autour de son cou pendant la baise, rien des vagues de plaisir qui se succédaient sur son visage. C'était beau de le voir concentré sur son plaisir à lui.
Débordé par l'excitation, submergé par le bonheur physique de cette queue en train de ramoner mon fondement, mes paupières tombaient par moments sous l'effet du plaisir débordant, ce plaisir physique qui me happait au point qu'il prenait même le pas sur le ravissement de voir mon jeune amant en action.
Ouvre les yeux - m'intima-t-il - regarde moi en train de te baiser et regarde toi en train de te faire prendre comme une chienne...
Oh oui, je suis ta chienne... il n'y a que toi pour me baiser comme ça et il n'y a que moi pour me faire baiser comme ça par toi!
T'es même plus un mec, t'es mon vide couilles; elle ne te sert pas à grand chose ce bout de nouille que tu as entre les jambes... tu ne sais que mouiller comme une gonzesse...
Putain de sale môme! Il avait raison: mon t-shirt trempé de son jus, mes fesses écartées, offertes à ses assauts, j'avais perdu mon statut de représentant du sexe masculin. Dans cette salle de bain, comme à chacune de nos rencontres, il n'y avait plus qu'un seul mâle. Putain de sale môme, sale môme à craquer, sale môme à croquer.
C'est vrai, je mouille à fond, mais c'est toi qui me fait mouiller, tu baises trop bien...
Je le vis alors plier son buste, saisir mon épaule gauche pour se maintenir en équilibre ainsi que pour donner encore plus de puissance à cette superbe sodomie ; je le sentis alors attraper mes couilles et les serrer dans sa main si fort que ça me fit sursauter; j'avais mal, mais j'adorais ça.
Vas y, s'il te plaît - je le suppliai - fourre moi pendant que tu me les écrases.
J'avais mal, mais j'étais si excité que mes yeux se fermèrent à nouveau, mon esprit emporté dans le flot de ces sensations physiques contrastantes et déroutantes.
Ouvre les yeux, putain - gronda-t-il - et regarde ce qui t'arrive, regarde comment tu te fais baiser, comme une pute!
Son bassin était déchaîné, son torse bougeait frénétiquement et sa chaînette de mec sautait dans toutes les directions, ses coups de queue étaient de plus en plus rapides, ses couilles frappant violemment mes fesses, son gourdin limant rageusement les parois de mon anus et cognant de plus en plus loin dans mes entrailles...
Un instant après je le sentis ralentir ses assauts, vibrant de tous ses muscles sous la vague de plaisir qui était en train de le submerger, je vis le froncement typique de la jouissance masculine s'afficher sur son visage, l'image des giclées chaudes et épaisses qu'il était en train d'injecter en moi; dans l'emportement de son orgasme, pendant que des râles incontrôlés montaient de sa gorge, il serra encore plus fort sa main sur mes couilles.
Je viens... je l'entendais murmurer. Et je le vis littéralement éjaculer en moi, je sentis presque passer les flots de semence qu'il était en train d'injecter au fond de mes entrailles. Dans le reflet du miroir, je vis son esprit s'évaporer, sa conscience abdiquer le temps de ce débordement total du plaisir sur sa conscience, le corps et le cerveau assaillis par ce tsunami sensoriel, par l'explosion éphémère mais totale de son plaisir. Pendant une poignée de secondes, son esprit s'était absenté, il n'était plus là mais loin, très loin, seul dans un univers de pur bonheur.
L'orgasme passé, Jérém s'effondra sur mon dos, épuisé, le souffle chaud et haletant dans mon cou, sur ma nuque, à travers mes cheveux, sa queue toujours raide en moi. J'étais si bien là, rempli de lui, le corps écrasé par le poids du sien. Au bout d'un moment il se releva, me tira par l'épaule pour me faire redresser, me retourner vers lui et me faire mettre à genoux. Je savais ce qu'il voulait, et je lui donnai avec plaisir. Comment résister à ce gland bien gonflé, rouge, luisant de sa semence?
Tu fais quoi, là? - me lança-t-il froidement pendant que je finissais ma charmante corvée.
Sans y faire attention, pendant que je nettoyais sa queue, j'avais entrepris de me branler. Surpris, j'arrêtai. Je savais qu'il ne voulait pas me voir jouir ni même me branler. A ma grande surprise, il continua:
Mets toi debout devant le miroir et tâche de viser le lavabo... si jamais t'arrive à sortir un peu de mouille!
Saligot, saligot magnifique! - criais-je dans ma tête tout en m'exécutant conformément à ses souhaits.
J'avais un peu mal aux couilles après ce qu'il m'avait fait avec sa main mais j'en avais bien envie. Me voilà donc devant le miroir en train de me branler, regardant mon reflet dans la glace, regardant son reflet dans la glace, remarquant avec plaisir qu'il semblait mater mon manège avec intérêt et curiosité, tout en astiquant son manche qui avait bien vite retrouvé une forme assez remarquable.
Il était juste derrière moi, un peu décalé vers la gauche pour que nos deux corps se retrouvent côte à côte dans le reflet de la glace. Putain, il était vraiment bien mieux monté que moi... je la trouvais si impressionnante que je me surpris à me demander comment mon ti trou arrivait à avaler ce monstre de chair...
Mes couilles étant encore endoloris par le souvenir de son étreinte, je décidai de ralentir la cadence de mon jeu de main pour les soulager et pour faire durer cet instant si sensuel.
Le passage de son pieu très vif dans mon fondement, son jus qui commençait à suinter de mon ti trou, son reflet dans le miroir en train de se branler en me matant... je sentais ma jouissance monter... j'étais tellement concentré sur ces sensation physiques agréables que je fus surpris quand je sentis un jet frapper ma fesse, un autre souiller le bas de mon t-shirt, un autre s'abattre sur la naissance de ma raie, puis un autre et un autre encore. Jérém avait encore joui, comme j'avais pu le voir à sa tête à partir du deuxième jet. Déconcerté par l'agréable surprise, j'avais même arrêté de me branler, la queue abandonnée dans ma main immobile. Mon dos perçut à nouveau ses doigts se frotter contre le t-shirt pour nettoyer les quelques traces de sa branlette ; un instant après, le miroir me montra un Jérémie en train de se diriger vers la sortie de la salle de bain.
Tu peux prendre un douche - me lança-t-il en disparaissant dans le séjour pour continuer certainement vers la terrasse.
Resté seul devant le miroir, je me regardai dans le reflet de la glace: son jus était partout en moi, sur moi, dans ma bouche, dans mon ti trou, sur ma peau, sur mon t-shirt. Vraiment, j'étais devenu sa pute, son vide couilles.
Décidément, lui aussi il avait pris cher, mon t-shirt blanc... ainsi j'avais bien intuité, il aimait me voir en t-shirt blanc... et les marquer de son jus… On avait donc ça en commun, on trouvait sexy le coton blanc tendu sur le torse d'un mec. D'ores en avant je ne mettrai plus que du blanc pour lui faire plaisir. J'ai toujours trouvé ça très sexy, un simple t-shirt blanc: ça fait propre, ça fait tout simplement mec. Un t-shirt blanc ça me fait penser aux militaires américains, les marines, les JA, toujours habillés de ce coton sexy sous leurs uniformes, toujours habillés de ce coton fin et doux quand il sont au repos; et quand on les voit ensemble, en nombre, avec tout ce blanc qui recouvre des torses qu'on a franchement envie de découvrir, ça me fait vraiment bander et me conforte dans le fait que je suis vraiment un mec fait pour les mecs...
Pendant ce réflexions, j'avais repris à me branler; dans l'excitation j'eus envie de décoller le haut de mon t-shirt de la peau de mon cou et d'approcher le nez du coton moite de son jus... putain ça sentait bon, sa semence était fort odorante et j'adorais. Je pris le bord du t-shirt entre mes lèvres et quand son goût arriva à mon palais, ma queue explosa en quelques petites giclées bien moins copieuses et vigoureuses que les siennes.
Je restai un instant appuyé au lavabo pour reprendre mes esprits et retomber sur terre; lorsque je l'entendis rentrer dans le séjour, je nettoyai vite la cuvette de mes traces et je rentrai sous la douche. Je me douchai rapidement, très impatient de le retrouver, même si je savais que je n'aurai retrouvé qu'un mec pressé de me voir partir.
Quand je sortis de la salle de bain, il était torse nu et jean, allongé sur le lit, en train de zapper. Heureusement, connaissant la fougue de mon jeune amant, et sa tendance à marquer son territoire sur mes t-shirts, j'avais anticipé. J'avais mis dans mon sac un t-shirt bleu de rechange.
Salut bogoss - je lui lançai à la cantonade.
Salut mec - me répondit en tournant à peine la tête, sans pour autant détacher les yeux de l'écran.
Je ne bougeais pas, attendant qu'il se décide à me regarder, ce ne serait qu'une fois et assumer ce qu'on venait de faire ensemble. Qu'est ce qu'il était beau, putain.
Tu vas rester planté là - me taquina-t-il au bout d'un moment, en m'adressant enfin un petit sourire; et il continua, moqueur - ce n'est pas parce que tu suces mieux qu'une nana que je vais t'inviter dîner. Rentre chez toi, mec, on a passé un bon moment.
Oui, on a passé un bon moment... à demain alors...
T'inquiètes...
Et si jamais t'as envie, t'as mon 06...
C'est ça...
Tu peux m'appeler à n'importe quelle heure...
Je sais...
Tchao, mec...
Bye...
La porte claqua derrière mon dos et je me retrouvai seul dans le couloir du dortoir. C'est bizarre comme ce couloir n'avait pas du tout la même allure à mon départ qu'à mon arrivée... une heure plus tôt il avait été l'annonciateur de retrouvailles fougueuses et de plaisirs intenses et là ils était lugubre, m'annonçant uniquement une soirée seul dans ma chambre en train de penser à l'indifférence de Jérémie après nos ébats. Putain que c'était bon de me sentir son vide couilles pendant l'action; c'était aussi bon que ça en était insupportable de l'assumer une fois passé cette porte.
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Après la saillie dans les toilettes du lycée, Jérémie ne sollicita pas ma compagnie, ni le jour même, ni le lendemain, ni pendant le week-end qui suivit. J'avais toujours envie de lui. Je me languis le samedi, je m'ennuyais de lui le dimanche, me maudissant de ne pas lui avoir au moins filé mon portable, en cas qu'il ait une envie soudaine.
Depuis que je couchais avec Jérémie, ce mec occupait mon esprit à temps complet. Je ne pensais qu'à lui, à ce qu'on faisait pendant les révisons et à ce que j'avais envie de faire pour le faire jouir encore et encore. Difficile de me concentrer sur les véritables révisions avec des préoccupations de la sorte. Avec de telles idées dans la tête, ma queue ne me laissait aucun répit non plus.
La branlette me tira plusieurs fois de mon angoisse, comme une petite brise qui chasse un nuage. C'est extraordinaire le pouvoir d'une branlette de chasser les tensions, les soucis, de dégager l'esprit de façon, certes provisoire, mais radicale. Une fois joui, on se sent bien, on relativise, et toute chose a l'air de rentrer dans l'ordre. Ca ne dure pas longtemps, mais c'est apaisant.
Je le retrouvai le lundi, au lycée. Il portait une chemise à petit carreaux blancs et noirs bien serrée autour de son torse magnifique. Les deux boutons du haut ouverts, cette ouverture laissait entrevoir sa chaine dorée posée sur sa peau rasée. Un petit jean moulait à la perfection son petit cul bien rebondi. Putain de mec, décidemment tout tout tout lui allait. Tu m'étonnes, avec un physique de mannequin pareil...
On ne s'adressa pas la parole de la journée. Le souvenir du dernier passage de son gourdin commençait à s'estomper dans mon fondement; il suffisait cependant que je contacte fortement mon anus pour le retrouver, encore vif et bien présent, au plus profond de mes entrailles. tout en se réanimant à chaque contraction volontaire de mon anus. Je bandais sans arrêt, dès que je le regardais. J'avais terriblement envie de lui. Pendant toute la journée j'avais attendu qu'il vienne me proposer de réviser en fin d'après midi mais à mon grand damne il en fut rien: à la fin des cours je le vis partir, sans doute vers sa chambre. Une fois qu'il fut seul, j'accélérai le pas pour le rejoindre.
Salut - je l'interpellai - on ne révise pas aujourd'hui?
Non, pas de révision... - me lança-t-il avec une certaine taquinerie - trop révisé ce week-end...
Ok - je répondis, sans réussir à cacher ma déception - peut être demain, alors?
Je sais pas, on verra...
Je ne savais pas quoi répondre, je me sentais désarçonné. Il le remarqua et il me lança: T'en as jamais assez, toi, de te faire baiser... t'es vraiment une pute...
J'ai trop envie de toi...
Je sais - rétorqua avec un sourire coquin aux lèvres - mais là j'ai envie de baiser des nanas, toi je te baiserai peut-être quand je n'aurai envie...
Il me quitta ainsi, se moquant de mes envies, se refusant à moi, me laissant dans le doute quant au moment et à la possibilité même d'une rencontre ultérieure. Quel salopard! Quel magnifique, charmant, sexy salopard!
Ni le mardi, ni le mercredi je n'eus de ses nouvelles, en dehors de le voir en cours. Ma frustration me rongeait. L'humiliation qu'il m'avait infligée le lundi soir me brulait à l'intérieur. Le fait qu'il préfère coucher avec des nanas, alors que je lui faisais bien de trucs que les nanas ne font pas, comme il l'avait lui même affiché, me taraudait l'esprit. Pourtant je le savais qu'il était hétéro...et que je n'étais que son vide couilles... à la demande. Et pourtant...
Le jeudi, entre midi et deux, je le croisai dans les couloirs avec Anaïs. Il m'arrêta avec un grand sourire et, devant elle, me proposa de réviser chez lui ce soir là. Pris de court, j'acceptai.
A l'heure convenue, un peu plus tard que d'habitude, j'allais le retrouver dans sa chambre pour réviser une fois de plus la géographie passionnante de son beau physique, pour explorer les dénivelés de son torse, le profil parfait de son dos musclé, le gabarit et la puissance de son sexe.
Quelle surprise alors quand la porte s'ouvrit laissant apparaitre non pas le beau Jérémie mais Claire, une fille d'une autre classe, une blonde pulpeuse qui était tout le contraire de la beauté méditerranéenne d'Anaïs, la pauvre Anaïs que je l'avais encore vu embrasser à pleine bouche à la sortie des cours. Son parfum de femelle en chaleur me dérangea. Elle avait les yeux plein d'étoiles, et certainement la chatte pleine de courbatures, son attitude montrait clairement qu'elle venait de s'offrir au beau mâle.
Salut - minauda-t-elle - il est sous la douche, il s'habille et il arrive. Je m'échappe, bonne révision. Bye!
T'inquiètes - songeai-je, sans mot dire - il ne vas pas trop se rhabiller pour nos révisions. En effet, à peine la porte fermée derrière moi, il sortit de la salle de bain avec une serviette autour de la taille, serviette qu'il laissa tomber en me voyant; ses cheveux étaient encore mouillées et quelques gouttelettes perlaient de ses épaules et descendaient sur son torse; sa queue était presque prête, planté là au milieu de ce pubis rasé qui mettait encore plus en valeur son bel engin.
Je vous dis qu'il rendrait homo n'importe quel mec, ainsi qu'hétéro n'importe quelle lesbienne...
J'ai croisé Claire... - je lançai.
Viens sucer - me lança-t-il, ignorant la remarque et se dirigeant vers le lit. Il s'y allongea, accoudé, beau comme un Dieu, cette plastique incroyable devant mes yeux, comme une invitation silencieuse mais irrésistible à le faire jouir. Je ne me fis pas prier pour le contenter, trop heureux de mon aubaine, toujours incrédule qu'un mec aussi canon ait envie de se soulager avec moi.
Ce torse offert à ma vue était si beau, si musclé et toujours rasé de prés, il sentait si bon que j'eus envie de lui rendre hommage en le titillant avec ma langue: je partis des tétons, en m'y attardant un moment, et je descendit petit à petit jusqu'au chemin du bonheur en faisant monter l'excitation du bel étalon.
Vas y, putain, suce!
Je m'exécutai, avec bonheur. Sortant de la douche, sa peau était douce et soyeuse, la queue raide et délicieuse. Pendant que je le suçais, je remarquai sur la petite commode à coté du lit une capote usagée qui avait du être remplie tout juste quelques minutes avant mon arrivé. Putain de mec, je l'imaginais en train de baiser Claire et cette image donna encore plus d'entrain à ma fellation.
Vas y, avale-la bien, suces comme ça, elle t'a manqué ma queue, n'est pas? Maintenant il faut t'en occuper comme un chef, vas y, fais bien ta salope!
Il avait vraiment l'air de prendre son pieu, son torse se contractant au rythme de mes coups de langue sur son gland et des allées venues de mes lèvres bien resserrées autour de sa tige. Ma fellation devait le combler comme jamais auparavant, car à un moment il sembla s'abandonner complètement au plaisir que je lui administrais: il bomba son torse et ramena la tête en arrière, penchée entre ses épaules, sa respiration saccadée sous l'excitation extrême.
Vas y suces bien, elle n'a voulu se faire sauter qu'une fois, en plus elle ne sait pas sucer, elle fait ça du bout des lèvres... elle m'a juste allumé... toi tu fais ça bien, tu es une bonne salope, tu vais prendre cher aujourd'hui...
Que du bonheur pour mes oreilles... Je le prenais bien en bouche, ensuite je descendais à ses couilles que je léchais avidement: la peau était douce, rasé là aussi, rebondie, j'adorais lécher ses bourses pleines de ce sperme qu'il n'allait pas tarder à déposer dans tous mes trous et sur ma peau. A ma grande surprise, je sentis ses mains venir se balader sur le coton de mon t-shirt blanc et titiller mes tétons. Il avait donc retenu la leçon. Et même si je finis par croire que ce n'était pas vraiment pour m'exciter mais pour que mon excitation donne encore plus d'entrain à ma fellation, ça en était à tomber par terre. Je sentais ma queue prisonnière dans mon pantalon prête à exploser, mon anus se dilater d'envie...
Au fil de mes caresses buccales, je sentis le mec se détendre de plus en plus et se livrer avec une confiance grandissante à mes compétences en matière de fellation et de soumission au plaisir masculin. Désormais allongé sur le lit, les mains sous la nuque, les muscles décontracté, pour la première fois il me laissait faire.
De temps en temps je l'entendais chouchouter des "putain, que c'est bon, putain de bouche à pipe!", ce qui me rassurait et m'excitait à la fois. Et si les autres fois il avait pris les choses en main presque brutalement, là il se laissait faire, découvrant le plaisir nouveau d'une langue affairée à la recherche de son pieu, acceptant de perdre un peu le contrôle, se livrant à la découverte d'un plaisir délivrée plutôt qu'extorqué. A nouveau appuyé sur ses coudes, ses abdos se soulevant au rythme de sa respiration et de son excitation, me regardant me soumettre à sa sexualité, Jérémie acceptait que je décide un peu de son plaisir.
Ma bouche s'affairait sur sa queue et sur ses catagnettes, mes mains sur son torse et ses tétons, trouvant de plus en plus facilement ses points sensibles et érogènes. Je me rendais compte qu'au fil des révisions, je commençais à cartographier la géographie de ses points de plaisir et cela était du pur bonheur pour moi; j'avais parfois l'impression de lui faire découvrir des endroits érotiques inédits, des caresses nouvelles, des sensations insoupçonnés et cela n'avait pas de prix.
Je l'entendais s'exclamer parfois, la voix étranglée par l'excitation: "Putain, ça c'est bon, ça c'est trop bon, avec un ton de voix tellement ravi que ça me laissait imaginer que non seulement c'était la première fois qu'on lui faisait ce genre de truc, mais que jamais il n'avait pris autant son pieu au lit. Parmi ce genre de petit truc qui le faisaient vraiment grimper au rideau, voilà que le bout de ma langue mettant des petits coups rapides dans le creux de son gland, à l'endroit exact où le jus s'échappe lors de l'éjaculation, sembla faire un tabac sensoriel dans son beau physique.
Putain que c'est bon, tu es vraiment une bouche à pipe! Vas y, occupes toi de ma rondelle maintenant!
Comment refuser une telle invitation?
Je plongeai alors mon visage entre ses fesses musclées que j'écartai avec mes mains pour titiller son ti trou avec ma langue. Il adorait ça, sa respiration, de plus en plus haletante, l'annonçait clairement.
Viens, retourne me sucer - me lança-t-il en me saisissant fermement le poignet.
Je reprit alors de le sucer, de plus en plus vigoureusement.
Putain, putain tu vas m'avoir...
Je ne demandais pas mieux, j'y attelai encore plus résolument.
Oui, oui, comme ça, vas y! Oui, je viens, oui, oui, oui...
Ma bouche était à présent inondé d'un jus chaud et épais avec ce gout crémeux et un peu salé qui me rendait dingue. Tout excité d'avoir réussi à le faire jouir par moi même, je gardai sa semence un instant sur ma langue, avant de tout avaler par petites gorgées.
Il était à présent complètement allongé sur le lit, avec ce regard détendu et apaisé des mecs après l'orgasme.
Un instant après il se levait, mettait son jean, sans caleçon, pour aller fumer sa clope en terrasse. Je m'allongeai à mon tour sur le lit, sans pouvoir le quitter du regard. Son dos, qu'est ce qu'il était beau, lui aussi. Ses lignes harmonieuses exprimaient une puissance musculaire et une virilité étourdissantes. Un régal pour la vue. Le contraste entre la douceur de sa peau et la fermeté de ses muscles était un pur bonheur au toucher et je mesurais ma chance de pouvoir le savoir... La vigueur qui se dégageait à travers les rebonds des muscles de son dos était une vitrine de sa masculinité débordante: chaque mouvement, mettait en valeur ses muscles saillants, en partant de son cou solide, en descendant à travers sa chute d'épaules, ses biceps, le dessin en V de son torse jusqu'à la chute de reins et à la lisière de ce jean qui cachait ses jolies fesses. Et toujours ce tatouage autour de son biceps... Certes, dans la beauté de ce jeune homme, les gênes y étaient pour beaucoup (je connaissais son père, magnifique nonobstant ses 50 piges ainsi que son frère cadet, trop jeune mais avec un sacré potentiel en devenir...): mais putain, qu'est que ce ça se voyait l'effet du sport sculptant ce beau physique depuis des années! Rugby, natation, surf, tennis, ski... Le charme, quant à lui, c'est un truc inné, et Jérémie en avait à revendre. Son attitude masculine et son coté mauvais garçon en décuplaient les effets, faisant de lui une bombe sans pareil.
Il avait fini sa cigarette. Dans un instant il allait rentrer. De quoi avait-t-il envie? Allait-t-il me baiser?
Il s'approcha du lit et me lança froidement:
Dessape toi, garde juste le t-shirt et mets toi sur le dos, j'ai envie de te mater pendant que ma queue te fait jouir comme une gonzesse!
Le ton toujours ferme, directif. Bandant.
Pendant qu'il enlevait son jean, je m'exécutai, trop heureux de ce cadeau qu'il me faisait, la chance de pouvoir le regarder pendant qu'il me baisait.
Me voilà donc, allongé sur le dos, les jambes bien écartées, les fesses et mon ti trou offerts à sa queue, en demande de sa puissance sexuelle comme une vraie femelle en chaleur, mon petit sexe trempé d'un fin filet de mouille, regardant ce beau mâle enduisant sa queue de sa salive pour la préparer à l'assaut de mon fondement, pour l'apprêter à une bonne saillie de ma chatte.
Il présenta son gland à l'entré de mon ti trou. La position ne devait pas lui convenir, car il me passa un oreiller.
Mets ça...
Une fois installé mes fesses en hauteur, il représenta son gland dans ma raie et là je le sentis taper pile à l'entrée de mon anus. Je le sentis pousser vigoureusement avec son bassin. Ce ne fut que l'affaire d'un instant. Comme si elles avaient reconnu d'avance le chibre qui allait faire leur bonheur, les parois de mon anus s'ouvrirent devant la fermeté de son érection. Il glissa en moi en poussant un long soupir de satisfaction et de plaisir. Une fois arrivée à la garde il s'arrêta, les yeux fermés, comme débordé par l'excitation, jouissant de la chaleur humide de mon ti trou, dégustant d'avance la belle tranche de bonheur qu'il allait se tailler.
Je me sentais rempli de son zob, et c'était trop bon. Prenant appui sur ses mains qu'il avait posées sur le lit de chaque coté de mon torse, il commença à me limer. Putain, le mec était en train de me ramoner au plus profond et en plus il me permettait de le regarder faire...
Son torse, deuxième vitrine de sa puissance sexuelle, si possible encore plus excitante que la première, était comme toujours une pure émotion de bonheur. Là encore, observé d'un autre point de vue, son cou puissant, sa carrure, la largeur et la chute des épaules, biceps, pectoraux, tétons, abdos, nombril, chute de reins, c'était la vision d'une beauté impressionnante et d'une plastique incroyable, qui plus est dans la splendeur et la force de l'action. En moi...
Il faisait un peu chaud dans la pièce et Jérémie commençait à transpirer: son front perlait sous l'effort, et sa sueur commençait à dégouliner sur son cou et sur son torse imberbe, le rendant luisant et on ne peut plus sexy.
Je le regardais en train de me pilonner, désormais redressé sur ses genoux; son torse dominant mon corps allongé de toute sa puissance virile. Son regard perdu loin dans le vide, j'observais les ondulation de sa petite chaîne, ses va et vient entre le cou et le torse au rythme de ses coups de reins, son attitude uniquement centrée sur son pieu à lui.
Je me concentrais sur ses gémissements, sur sa respiration. J'étais débordé, dominé, écrasé pas sa sexualité.
Putain que t'es beau Jérémie... je lançai, au comble du plaisir, le cul rempli de sa bite et malmené par ses assauts.
Il ne répondit rien, le regard toujours loin de moi.
J'étais tellement excité que j'ai eu envie de m'humilier encore un peu plus devant sa virilité. Je tournai alors la tête vers la capote pleine... putain de mec, capable de passer d'un cul à un autre en à peine quelques minutes! Je regardai la capote de façon tellement insistante que au bout d'un moment il le remarqua. Pendant un court instant je croisai son regard de braise, désormais chargée de cette étincelle lubrique qui annonçait toujours un truc bien excitant. Il arrêta alors ses coups de reins et, sans déculer, il allongea de bras pour attraper la capote qui était ouverte: il m'intima alors d'ouvrir la bouche et il en vida le contenu sur ma langue.
Tu n'es vraiment qu'un pute - me lança-t-il, mauvais, pendant que j'avalais avidement. Il jeta négligemment la capote vide par terre à côté du lit, et recommenca à me pilonner avec encore plus d'entrain.
Putain que t'es beau Jérémie - je relançais - qu'est ce que j'aime quand tu es en moi... merci de me laisser te regarder pendant que tu me baises...
T'aimes ça, la queue, t'es juste un vide couilles, il te faut un vrai mec pour jouir, elle te sert à rien ta petite nouille molle que t'as entre les jambes, à part à mouiller comme une pisseuse, je suis sûr que tu n'as même de quoi jouir, dans tes petites couilles... tu n'as que ta bouche et ton cul pour prendre ton pied, sans un vrai mec tu es impuissant...
Certes il était bien mieux monté que moi, j'en ai une petite qui bande mou sauf quand je suce ou je me fais baiser; mais là Jérémie allait loin, il affirmait sa supériorité virile par rapport à moi; il était en train de m'émasculer verbalement.
Vas y, dis le que tu es impuissant, que tu ne sais que mouiller comme une gonzesse!
C'est vrai, je suis impuissant...j'ai besoin de me faire baiser pour prendre mon pieu...
Cette image, ce mec musclé qui était en train de me baiser, était étourdissante. Je le regardais sous l'effort, transpirant, ses muscles bandés dans l'action, j'étais subjugué par son attitude virile et dominatrice, par ses coups de reins, par les ondulation amples de son bassin; je brulais de désir pendant les pauses qu'il prenait de temps en temps, la queue bien au fond de mes entrailles; je capitulais devant ce jeune mâle tendu à la recherche de sa jouissance. C'était beau d'avoir le privilège d'offrir du plaisir à un gus comme celui là, sacré spécimen, beau de me sentir son objet sexuel.
Et qu'importe si jamais il ne s'occuperait de moi, de mon corps, de ma queue, de mon plaisir à moi, peu importe s'il m'humiliait avec ses mots. Mon plaisir était son plaisir, mon plaisir était ma soumission. Mon plaisir c'était de le sentir en moi, entendre son excitation dans sa respiration, ses gémissements, ses exclamations de plaisir, ses mots insultantes, voire méprisants.
Si je ferme les yeux, après tout ce temps, j'arrive à revivre cette première fois où je le vis jouir: je sens son plaisir vibrer dans le frémissement de ses muscles, monter petit à petit, la jouissance se visualiser dans l'expression de son visage; j'entends ses râles monter, je vois ses yeux quasiment se fermer, sa bouche s'ouvrir laissant s'échapper les gémissements qui ne trompent pas: je sais à cet instant que chaque respiration, chaque contraction de son visage est le reflet d'un jet chaud et parfumé qu'il est train d'envoyer au plus profond de mes entrailles. Oui, il est en train de jouir en moi et j'ai la chance inouïe de regarder passer sur son visage la vague puissante de plaisir qui parcourt son corps jusqu'à faire évaporer son esprit. Pendant un instant, le temps de quelques giclées de bonheur, le mec n'est plus là, perdu dans un monde de plaisir total, connecté loin dans l'univers.
C'est la première fois que je le vois jouir, et c'est beau à se damner. Oui, c'est beau un mec en train de jouir. En moi...
Ce soir, au lit, le souvenir des passages multiples de sa queue sera encore bien vif dans mon ti cul. Je me branlerai en pensant à la sexualité de Jérémie. J'enfoncerai un doigt dans mon cul qui aura commencé à suinter le jus de ses couilles. Je le reniflerai pour sentir son odeur, ensuite je le porterai en bouche pour avoir encore son gout. Toutes les images de sauterie avec le beau brun ainsi que mes envies et mes fantasmes se mélangeront pour tourbillonner dans ma tête jusqu'à que ma bite lâche dans mes draps un peu de cette masculinité qui est la mienne et que Jérémie ne souhaite pas voir exprimé lors de nos rencontres, masculinité qu'il écrase avec le débordement de la sienne, avec ses mensurations et sa vigueur sexuelle, bien supérieures aux miennes.
En m'endormant, apaisé, je me dirai "vivement demain après midi les révisions", en m'avouant que j'avais envie d'aller encore plus loin dans la soumission à ce beau spécimen, à son chibre.
Il ne tarda pas à sortir de moi, à me présenter sa queue luisante pour nettoyage et à se rhabiller pour aller fumer, me laissant là, allongé sur le lit, les jambes écartées, les fesses relevées par un oreiller écrasé, son gout dans la bouche, mon fondement malmené mais rendu heureux par son sexe, mon trou dégoulinant du nectar de sa jouissance. Je n'avais toujours pas joui, sans avoir le droit ça ne serait que de me toucher, faute de son autorisation... Je me sentais vraiment son objet de plaisir, son vide couilles, comme il m'avait appelé. Je le regardais fumer sur la terrasse, reprendre des forces, prêt à m'offrir à lui dès que l'envie lui reprendrait. J'avais le cul démonté, mais j'avais encore envie de lui. J'étais tellement excité par ce qu'il venait de me faire...
Cet après midi là, j'allais être comblé: dès son retour de la pause cigarette, j'eus droit à une deuxième sodomie, celle ci classiquement administrée par derrière. Sa queue juste appuyée sur mon trou, elle y glissa comme un couteau dans du beurre, ma fente déjà ouverte par ses assauts précédents et bien lubrifiée par l'abondance de son jus.
Là, vraiment, je pris cher: il me pilonna violemment pendant des longues minutes, la douleur se mêlant à l'excitation; il me baisa avec une sorte de brutalité qui devait venir de sa difficulté à atteindre le but: car même un mec de 19 ans est plus long à venir à son 4ème orgasme en à peine plus d'une heure. De plus, mon ti trou était de plus en plus ouvert à cause de ses assauts, assauts par ailleurs de plus en plus violents; par conséquent il devenait de moins en moins sensible et efficace autour de sa bite, et ce malgré mes efforts pour bien en resserrer les parois.
Pendant qu'il criait enfin sa nouvelle jouissance, je lui lançai:
Putain, Jérém, tu baises vraiment trop bien...
Pour toute réponse, quand il eut fini sa besogne, il me dit carrément de me tirer, car il avait des trucs à faire. Je le regardais se diriger vers la salle de bain sans même me dire au revoir: nu, beau à tomber par terre.
Eh, mec - je lui lançai en déposant un bout de papier sur le meuble à côté de la porte - voilà mon 06... tu m'appelles ou tu m'envoies un sms quand tu veux, si t'as envie...
Son sourire coquin pour seule réponse, le cul et les hanches endoloris, la rondelle meurtrie et brûlante m'envoyant une douleur intense à chaque fois qu'une goutte de son jus s'échappait de mes entrailles, je me retrouvai seul dans le couloir du dortoir. A ce moment là, je me sentais physiquement comblé mais psychologiquement dérouté; car une fois le plaisir consommé, mes angoisses reprenaient le dessus; et les humiliations qu'il m'imposait à chaque fois remontaient désormais dénuées de l'excitation physique et mentale qui me les rendaient si agréables dans le feu de l'action et devenaient carrément difficiles à assumer une fois la porte de sa chambre claquée derrière mon dos.
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fabien75fabien@yahoo.fr Jérém&Nico jeremXnico pour participer à cette aventure
Le lendemain, le temps avait changé. Avec la pluie, l'air de printemps s’était drôlement rafraîchi. Ce jour là, Jérémie portait un pull à capuche gris qui en rajoutait à son côté mauvais garçon, une tenue qui lui donnait même un petit air de caillera qui le rendait littéralement craquant à mourir.
D'ailleurs, on est toujours éblouis par les nouvelles tenues de quelqu'un qui nous plaît. Le pire, c'était qu'une fois ouverte, la zip de ce pull laissait entrevoir l'arrondi d'un débardeur blanc super moulant sur sa peu mate et bien rasée.
La veille, ce beau mâle m'avait baisé comme un chef. Ma bouche avait pu goûter à son jus, mon ti trou avait également été honoré d'une bonne dose de sa semence, et ce pour la première fois. Un cadeau qu'il avait du se gagner, car le jeune homme avait pilonné mon cul pendant un très long moment, un moment de pur bonheur. Avant de me laisser partir il avait encore aspergé mon t-shirt de son sperme.
Ce matin, en me réveillant avec les souvenirs de la veille plein la tête et plein les trous, je m'étais branlé une fois de plus en reniflant ce même t-shirt taché qui avait l'odeur de la virilité de Jérémie. Une fois soulagé, j'avais décidé de le passer et de le garder ainsi sur moi toute la journée. Je savais que je n'aurai pas arrêté d'y penser et que ça m'aurait excité au plus haut niveau, mais je ne put m'en empêcher: je trouvais cette idée excitante, j'avais l'impression de me sentir marqué par son odeur de mâle.
Ce matin là, en cours, j'évitai soigneusement de le regarder, pour ne pas le braquer. Je ne lui adressai même pas un bonjour. Quand la prof de math me demanda de venir au tableau pour expliquer une formule graphique, je regardai tout le monde, sauf lui. A deux ou trois reprises, pendant mon exposé, j'eus l'impression que son regard cherchait le mien mais je mis un point d'honneur à éviter tout contact visuel avec lui. Mon indifférence, bien que forcée et contrainte, avait du le marquer car à la sortie de la cantine il vint me parler.
T'es fort en math, mec...
Je me débrouille...
Il était à côté de moi et je vibrais de désir. Son parfum était envoûtant, son charme était envoûtant, son sourire l'était aussi. Avec sa voix chaude, son ton ferme, placé, masculin, Jérémie était le genre de mec à qui on a envie de s'abandonner.
Faut vraiment qu'on révise...
C'est quand tu veux, tu sais...
Je sais bien - répondit-t-il, en appuyant ces quelques mots d'un large sourire malicieux dans lequel il y avait tous les sous entendus liés à nos ébats et à la position de soumission dans laquelle j'étais en train de plonger chaque jour un peu plus, un sourire qui me rappela à quel point je lui appartenais sexuellement. C'était un brin humiliant mais tellement excitant...
Tu sais - j'eus l'audace de lui lancer - j'ai gardé le t-shirt et le caleçon sur lesquels tu a pris tes notes hier soir...
J'ai eu l'impression que cette information eut le don de l'émoustiller. La preuve en est que, se rapprochant un peu plus de moi, il parvint à me glisser à l'oreille:
T'es vraiment une salope faite et finie... T'as dû avoir quelque chose à renifler hier soir en te branlant au lit... - me lança avec son sourire magnifique.
C'est ça, et je ne m'en suis pas privé... Mais c'est ta queue qui me rend fou...
T'as envie de ma queue? Maintenant?
J'aimais bien ce petit jeu de provoc'. Je décidai alors de le suivre sur ce terrain et d'essayer de l'exciter.
Oh oui... tu es trop sexy, j'ai le cul en feu et j'ai besoin de prendre de bonnes giclées pur le soulager...
Mes mots crues ont dû lui parler car je vis une étincelle lubrique s'allumer dans son regard et d'un ton très ferme il m'intima:
File aux toilettes du 3ème étage et attend moi.
J’avais tout juste saisi ses mots et je le vis s'éloigner et disparaître au détour d'un couloir. Avais je bien compris? Il n'allait quand même pas oser ça? Entre eux cours, au lycée, dans une toilette où on aurait pu nous surprendre? En attendant de le savoir, je m'exécutai sagement, très sagement excité...
Les toilettes du troisième étaient désertes à cette heure là. Le visage en feu, je m'approchai du lavabo et je fis couler l'eau. Mon ventre papillonnait d'une étrange sensation... Je sentais dans mes entrailles mon cœur palpiter, je sentais comme de l'électricité parcourir mon bas ventre et mon sexe jusqu'à mon anus. J'attendis plusieurs longues minutes, entre la crainte d'être surpris par quelqu'un d'autre, le doute qu'il m'ait joué un canular et l'inquiétude qu'il vienne vraiment et que on se fasse gauler pendant nos ébats... Mais qu'est ce qu'il avait dans la tête?
Mon cœur battait à tout rompre pendant ce moment d'attente qui me parut une éternité. Je sentais mes jambes se transformer en coton au fil des secondes. J’étais tellement stressé que mon érection avait fini par tomber... L'eau coulait toujours et mes battements accélèrent encore quand je vis la porte s'ouvrir et Jérémie surgir avec une attitude de mâle prédateur prêt à foncer sur sa proie. Il avait complètement ouvert la zip de son pull à capuche et la vision de son débardeur blanc avec ses fines rayures verticales sculptant le relief de ses pectoraux était à tomber à la renverse. Et ce mec avait envie de me baiser là, tout de suite...
D'un geste rapide il ferma le robinet du lavabo; ensuite il m'indiqua une des toilettes et me lança: Dépêche toi, vas y!
Une fois de plus je m'exécutai. Putain de mec, il avait vraiment le cran d'oser ça. Putain de mec, qu'est ce que il en avait dans le caleçon... et putain, enfin, que j'en avais de la chance!
Il ferma la porte derrière nous, ouvrit son pantalon, m'intima de baisser le mien et là me fit pencher en avant au dessus de la cuvette. J'avais également retiré mon pull, en gardant juste le t-shirt souillé de son éjaculation de la veille.
Pendant que j'ouvrais mon froc et je descendais mon caleçon, je le sentis cracher dans sa main, enduire sa queue; je fis de même avec ma main pour lubrifier mon ti trou. Je sentais de l'excitation et de la précipitation dans ses gestes et je voulais éviter que la pénétration ne soit trop douloureuse.
Son gland s'appuya sur ma rondelle et sans prendre le temps d'autres préliminaires, il passa en forcing.
Sur le moment j'eus mal, j'étais à deux doigts de lui demander de se retirer. Mais une fois son zob bien au fond de mon cul je me sentais possédé, rempli, heureux de me laisser soumettre au plaisir de ce beau mâle, à son appétit sexuel débordant, que j'en oubliai la douleur de cette pénétration rapide et sans presque de préparation.
Il entreprit de me ramoner avec vigueur et entrain. J'étais plié à 90 degrés , la tête juste au dessus de la cuvette, les mains appuyées aux coins du minuscule espace, les jambes écartées, mon cul rempli de sa queue, secoué par ses assauts, cherchant à garder l’équilibre pour ne pas glisser. Ça puait l'urine mais je n'y avais cure, mon beau Jérémie était en train de me culbuter sans ménagement, les mains sur mes épaules pour donner plus d'ampleur à ses coups des reins ; je sentais sa queue coulisser dans mon fondement et ses couilles frapper violemment mes fesses ; et ça, et rien que ça, ça méritait bien de ne pas être trop regardant quant à l'environnement.
Il se pencha sur mon dos, sans pour autant arrêter ses coups de butoir ; je le sentis passer une main sur mon t-shirt, sans doute à la recherche de sa signature de la veille. Il parcourut ainsi une bonne partie de mon torse par dessus le coton. C'était la première fois qu'il me touchait autrement qu'avec sa queue ou avec ses mains dans une prise très virile pour mieux me défoncer et prendre son pieu, la première fois qui, certainement de façon involontaire, touchait des zones très sensibles de mon anatomie.
Quand il trouva ce qu'il cherchait, à savoir les traces de sa jouissance de la veille, il me chouchouta à l'oreille :
T'es vraiment une pute…
Oui, je suis ta pute, baise moi...
Ses coups se faisaient plus violents, plus rapides.
En parcourant le coton de mon t-shirt blanc, il effleura mon torse et frôla aussi celle qui est la zone la plus érogène de mon anatomie: mes tétons. Dans sa recherche tactile, il y revint à plusieurs reprises, ce qui me fit sursauter de plaisir. J'eus des spasme de plaisir, et le mec discerna ma faiblesse.
En plus tu es sensible de la poitrine, salope ! Tu va avoir ce que tu mérites...
Je le sentis se relever, je ne pouvais pas le voir mais je l'imaginais dans une attitude on ne peut plus masculine, en train de mettre à mon cul les bons coups de reins qui secouaient tout mon corps.
Je le sentis encore accélérer la cadence, le mec était excité mais pressé, on pouvait nous surprendre et de plus les cours reprenaient dans 10 minutes. Il continua de me limer sauvagement mais en silence.
C'était tellement bon, le contact de ses doigts avec le coton de mon t-shirt et son effleurement de mon téton si excitant, que je sentis ma bite gicler.
Jérémie ralentissait ses coups, l'orgasme montait dans son bas ventre, tous ses muscles se tendaient sous la montée de son plaisir suprême. Juste avant de jouir, il revint appuyer son torse sur mon dos: un instant après, il explosa en contenant ses gémissement; seule sa respiration, profonde, irrégulière et saccadée, traduisait une excitation qui dépassait l'entendement; je sentais ses halètements juste derrière ma nuque, son souffle chaud dans mon cou et mes oreilles, rythmant la succession des flots de sperme qu'il était en train d'envoyer dans mon cul et marquant ce moment éphémère où l'esprit d'un mec s'évapore, complètement emporté par la déferlante de sa jouissance.
Une fois vidé en moi, il se retira rapidement. Je me relavai aussi: en me retournant, je tombai fatalement sur sa queue portant les traces luisantes de sa jouissance. Monsieur- débardeur-blanc-immaculé me poussa alors vers un coin du minuscule espace. Il dirigea ensuite sa queue vers la cuvette et au bout de quelques secondes, il laissa échapper un épais jet d'urine. Dans l'angle où je me trouvais, le pantalon sur mes chevilles, je fus éclaboussé sur une jambe, un bras et une main. Ça sentait fort l'urine et je trouvais ça extrêmement excitant. Je regardais ce spectacle inattendu et je me sentais attiré, je sentais une sensation étrange dans mon ventre.
Sans se secouer, les dernières gouttes perlant du bout de son sexe, me montrant du regard ce qu'il attendait de moi, il dirigea sa bite vers moi. Son caleçon Armani, descendu juste au dessous de ses genoux, était blanc comme la neige et il semblait sorti de son emballage le matin même; ainsi je m'attelai à un nettoyage complet de son zob avec ma bouche et ma langue; je mis un point d'honneur à faire ça bien, de façon qu'aucune trace ne vienne souiller ce caleçon si sexy.
Sa queue avait un goût différent, un mélange de sperme, d'intérieur de cul et d'urine. Ce dernier était particulièrement fort cependant je le trouvais très à mon goût. En ce moment précis je réalisai que j'avais envie de ça aussi : je m'imaginais à genoux, lui debout juste devant moi, en train de m'asperger avec son jet jaune et épais. Je me vis ouvrir mes lèvres et tendre ma langue et lui permettre de finir de se soulager dans ma bouche. Ce mec me rendait dingue...
Jérémie regarda la grosse montre qui habillait son poignet, et me repoussa brusquement. Il remonta son caleçon et son froc et il sortit vite, regardant à droite et à gauche que personne ne le surprenne, me laissant seul dans ce wc, le cul en l'air, rempli de sa semence, ce goût fort dans la bouche. Je refermai la porte et je m'assis pour expulser son jus qui commençait à couler dans ma raie.
Cinq minutes plus tard j'étais assis en cours, à quelques bancs de lui, le cul défonce et une excitation en moi qui brûlait comme un feu de foret au mois de juillet. Comment écouter le cours de math après ce qui venait de se passer ?
Je ne pus m’empêcher de le regarder… le débardeur blanc complètement en vue après qu'il ait ôté son pull à capuche en sortant des toilettes (il avait chauffé sous l'effort), la petite chaine sur sa poitrine juste au dessus du col du débardeur posée sur sa peau douce, il était trop canon. Jérémie était assis là, la main d'Anaïs sur sa cuisse, faisant semblant d'écouter, comme si de rien n'était. Putain de mec.
Oui, ce mec me rendait dingue...
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fabien75fabien@yahoo.fr Jérém&Nico jeremXnico pour participer à cette aventure
Le lendemain de ce premier après midi de baise avec le beau Jérémie, je retournais en cours très impatient de le revoir et surtout de savoir s'il avait envie de recommencer. Comment me comporter avec lui? Comme si de rien n'était? Ce qui s'était passé, nous aurait-t-il rapprochés? Une complicité inattendue aurait-t-elle pris la place de l'indifférence qu'il m'avait montrée jusqu'à là? Je rêvais les yeux ouverts...
Balayant de mon regard fébrile l'espace autour de moi, impatient de le voir, je le cherchais dès mon approche du lycée.
Je le croisai dans un couloir, juste avant le début du premier cours. Comment décrire la beauté de sa tenue à quelqu'un qui ne l'as pas vue? Un t-shirt noir col rond, parfaitement coupé, sculptait le relief de ses pectoraux et dessinait avec une précision redoutable la forme en V de son torse de nageur; un petit jean délavé bien ajusté finissant sur des chaussures bleu pétard complétait sa tenue, un ensemble comme toujours très simple mais tellement masculin, redoutablement sexy. Pour parachever le tout, et me faire craquer à souhait, voilà ce tatouage dessiné juste en dessous de la manchette droite, gravé sur cette peau mâte que je savais désormais être d'une telle douceur ... et que dire de ce petit grain de beauté dans le cou juste au dessus de la ligne du col du t-shirt... juste une envie folle de l'embrasser à cet endroit. Putain, il était trop trop bandant. Brun, jeune, débordant de virilité et de puissance, tout simplement beau. J'avais qu'une envie, c'était de me mettre à genoux devant lui et de le sucer.
Salut - je lui lançai, avec une esquisse de sourire.
Salut - me jeta-t-il froidement, en passant son chemin.
Cinq minutes après, j'étais assis en cours à quelques bancs de lui. Je n'arrivais pas encore à croire que hier après midi ce beau male m'avait laissé accéder à sa sexualité, à sa virilité. Il m'avait fait ce cadeau. Mon fondement pulsait encore du souvenir de ses coups de butoir, ma gorge conservait la puissance de ses assauts, ma bouche gardait le souvenir de la vigueur de ses jets et de son goût de jeune mâle. Mes doigts, ma langue et mes fesses, la sensation jouissive du contact avec l'extrême douceur de sa peau... Je n'arrivais pas à décrocher mon regard de ce corps magnifique qui m'avait donné tant de plaisir quelques heures plus tôt. Je sentais ma queue gonfler dans mon caleçon rien qu'en repensant à tout cela.
Assise à côté de lui, voilà Anaïs, sa copine du moment: je l'imaginais en train de se faire sucer par elle, en train de la sauter, et je me demandais s'il prenait avec elle autant de plaisir qu'il semblait en avoir pris avec moi.
C'était quoi au juste ce qui s'était passé hier? Rien qu'un coup? Un extra? Juste pour voir? Etais je le premier mec pour lui, tout comme lui il l'avait été pour moi?
En tout cas, rien que de le regarder c'était un pur bonheur: négligemment appuyé au dossier de sa chaise, le buste incliné, les jambes allongées et croisées sous la table, le t-shirt tendu sur son torse parfait, la petite chaine abandonnée sur le coton noir, sa poitrine qui monte et descend, ondulant au rythme de sa respiration ample et paisible, le regard fixé vers un point indéfini de la pièce, Jérémie était jouissif à mater. Tout ce qui constituait la beauté du monde à mes yeux à ce moment précis, était assis là, sous mes yeux. Je sentais en moi une excitation, un frémissement qui partait de mes tétons frottant contre mon t-shirt, une vibration qui se propageait à mon nombril, à mon ventre, à ma queue jusqu'à pulser entre mes fesses là où le souvenir du premier passage de son gourdin était encore très vif. Mon désir était brulant, mon envie de lui totale, la queue dure comme un piquet. Bref, j'avais envie de lui sauter dessus.
J'étais tellement absorbé dans mes pensées que la prof de français me rappela à l'ordre. Heureusement elle n'avait pas remarqué, ou du moins pas relevé, que je n'arrivais pas à détacher mes yeux de Jérémie... je pensais à la chanson de Gloria Gaynor "you're just to good to be true/can't take my eyes out of you...". A force de le regarder, à un moment je finis par croiser son regard de braise: je fus sidéré de voir dans ses yeux, en lieu et place de son petit sourire charmeur, un regard bien noir qui ne signifiait qu'une chose, qu'il fallait que j'arrête de le mater.
Putain que je suis con, tu l'as braqué, t'as cramé toutes tes chances... Je m'en voulais, je commençai à transpirer, mon visage était en feu. De plus, j'avais l'impression que tout le monde avait remarqué mon manège. Putain, j'aurai du me maitriser... Mais comment faire, et merde à la fin, alors que je crevais d'envie, envie de lui, envie de ses envies. Ce fut le seul contact que j'eus avec lui pour le reste de la journée. Par ailleurs, j'avais l'impression qu'il m'évitait.
Pendant la pause je le vis rouler un patin à Anaïs. Je crus reconnaitre dans le regard de cette fille le même désir qui faisait vibrer mon corps à la simple vue de Jérémie. Elle aussi avait envie de le sucer et de prendre son gourdin entre ses cuisses. Elle aussi avait envie de faire l'amour avec lui sur le champ. J'avais envie de l'embrasser aussi et cet idée me fit bander encore de plus belle.
J'attendis toute la journée un signe de sa part mais rien de tel ne vint. Ce soir là il avait entrainement de rugby et il ne demanda pas ma compagnie, ni pour des révisions, ni pour autre chose. J'avais l'impression qu'il m'en voulait.
Le soir, dans mon lit, en me branlant pour trouver le sommeil, je me disais que je n'avais été pour lui qu'une aventure sans suite. Et que de toute manière j'avais tout gâché avec mon comportement de midinette en chaleur.
Le lendemain, mercredi, j'étais censé réviser chez moi. Je passai la journée à me branler en repensant à Jérémie et en angoissant pour la suite de nos relations.
Il m'aurait fallu attendre jusqu'au jeudi pour le revoir. Depuis le matin, je décidais de me ressaisir. Mot d'ordre: éviter de me faire du mal, éviter de le regarder. Mais comment faire... lui aussi, putain, il n'avait qu'à pas être si mignon! Et en plus il y mettait le formes... Encore un t-shirt noir, col en V cette fois, mettant en valeur son physique plus qu'avantageux; et la petite chaine posée sur la peau de son torse, qui avait en plus l'air d'être rasé de près; et son brassard... Pour m'achever, voilà que la veille il avait trouvé le temps d'aller chez le coiffeur, ses cheveux étaient plus courts, surtout sur les cotés et derrière la nuque. Tout ce que j'aime chez un mec... Résister à la tentation de le mater était une torture. Mais je décidai de me faire violence et de me concentrer sur les cours...
Ce ne fut qu'en fin d'après midi que mes angoisses se dissipèrent. Jérémie s'approcha de moi pour me lancer discrètement:
Viens réviser chez moi dans 15 minutes.
J'étais le mec le plus heureux de la terre.
Dix minutes après j'étais devant sa porte. Il m'avait invité pour des révisions, mais il n'était là plus questions de maths; il s'agissait désormais de révisions de géo, oui, la géographie du physique, de la sexualité et du plaisir d'un jeune homme au charme ravageur.
Je n'avais pas tapé deux coups à sa porte que le battant s'ouvrit, laissant apparaitre le bel apollon dans toute sa splendeur. Il referma la porte derrière moi, prit appui sur le mur juste à coté, et enleva son t-shirt noir dévoilant sa magnifique nudité. Putain que ça lui allait bien ce t-shirt noir, comme un gant. Et putain comme ça lui allait mieux encore, sans t-shirt. Décidemment tout lui allait, et tout particulièrement la nudité. Je ne m'étais pas trompé: il avait rasé son torse de près. J'étais aveuglé par le désir...
Viens me sucer - me lança-t-il adossé au mur, la ceinture et le premier bouton de son jean défaits laissant entrevoir un bout de son caleçon bleu. Je saisit le bord inferieur de mon t-shirt blanc pour l'enlever mais Jérémie m'intima de le garder.
Une expression sensuelle, une étincelle lubrique dans son regard m'autorisa à imaginer qu'il avait envie d'une sexualité sans tabous, du genre qui ne devait pas être à l'ordre du jour ni avec Anaïs ni avec ses autres conquêtes féminines, souvent trop entravées par le refus de la soumission au sexe masculin pour savoir correctement donner du plaisir à un mec. Ou alors, ayant exploré avec ses nombreuses conquêtes toutes les facettes de la sexualité hétéro, il regardait désormais vers d'autres horizons de jouissance, il envisageait de goûter à de plaisirs inédits. Peut-être cherchait-t-il ni plus ni moins qu'un esclave sexuel, un vide couilles disponible à la demande et ne sachant rien lui refuser d'un plaisir qu'il voulait totalement débridée: à ce compte là, j'étais l'homme de la situation.
Une seconde plus tard j'étais à genoux, j'avais descendu son jean et son caleçon bleu et je m'accrochais à ses jambes musclées pour donner de l'élan à ma fellation. Putain de mec, il avait également rasé autour de son sexe...
Putain, je l'entendais gémir, putain de bouche à pipes... Vas-y, avale la bien...
Il sentait vraiment bon, ce mélange de parfum pour mec et d'odeur de sexe masculin, la douceur et la tiédeur de sa peau me faisaient tourner la tête. Son bassin assenait désormais de grands coups dans ma bouche. C'était un mouvement assez violent, cadencé par sa respiration bruyante suivant le rythme de ma fellation. Je sentait qu'il avait envie de jouir dans ma bouche. Pour lui donner encore plus de plaisir, je levai mes bras pour lui titiller le tétons. Je le senti frissonner et ma queue en tressaillit.
Putain, putain, t'es vraiment une bonne salope, tu aimes la queue, tu aimes ça, hein? Vas y, lèche moi les couilles...
Je m'exécutai avec grand bonheur, tout en continuant à le branler. Il aimait ça.
Quelques minutes plus tard, il fourra sa bite au fond de ma gorge et après quelques foulées il m'inonda la bouche de ce liquide chaud et épais que j'avalai sans besoin qu'il m'y invite. Ma langue s'affaira autour de son gland pour rien laisser de ce nectar parfumé. Jérémie remonta alors son caleçon et son jean et sortit torse nu sur la terrasse pour fumer sa cigarette.
J'avais une trique pas possible, le cul en feu: je le regardais à travers la baie vitrée torse nu au soleil, une pure vision de bonheur. J'avais trop envie de lui. J'étais encore à genoux et je décidai de m'allonger sur le lit pour l'attendre.
Lorsqu'il revint, il me dit d'un ton froid et autoritaire - enlève ton jean, baisse ton caleçon et met toi sur le ventre... tu vas te prendre un sacré coup de queue...
T'as envie de ça, n'est pas ma salope - je le sentis proférer derrière moi quand je me fus acquitté de ses ordres - vas y dis le!
Oui, s'il te plait, défonce moi le cul avec ta queue de mec hétéro bien actif, fais de moi ta salope, inonde moi de ton jus...
Il cracha dans sa main et en enduisit sa queue; il écarta mes fesses et cracha deux fois sur ma rondelle. il appuya son gland et je sentis mon sphincter se distendre et laisser passer la queue de Jérémie jusqu'à la garde. Il s'arrêta au fond, savourant le chaud enserrement de mon ti trou autour de son sexe.
Tu la sens bien là, mon cochon? Tu as envie que je te baise...
Oui, oui, s'il te plait...
Et là il commença à se faire plaisir: avec le coin de l'œil j'apercevais un peu de sa silhouette, un peu de ses mouvements à la recherche du plaisir viril; mes narines aspiraient le parfum de sa peau, mes hanches, me épaules, essuyaient la prise puissante, la domination de ses mains, mes oreilles entendaient ses mots, mes fesses et mon anus recevaient les assauts de sa queue; mais une fois encore il était derrière moi, et j'étais ainsi privé de l'image de ce beau mec en train de me baiser.
Il me pilonna pendant de longues minutes avec une cadence terriblement sensuelle. Il m'éclatait littéralement le cul. Il s'arrêta un instant, bien au fond de moi.
Dis moi de quoi tu as envie, espèce de chienne en chaleur!
J'ai envie de ta semence bien au fond de mon cul passif... envie que tu te vides en moi, j'ai envie de satisfaire tous tes besoins de mec, j'ai envie de te vider les couilles...
Mais tu es vraiment une grosse salope, tu vas prendre cher...
Il m'attrape alors par les épaules et commença à augmenter le tempo. C'était violent mais terriblement excitant. A chaque coup de rein mon corps était projeté en avant, tandis que ses couilles frappaient mes fesses et son gland se poussait de plus en plus loin dans mes entrailles.
Putain de cul à foutre, tu vas te prendre des bonnes giclées...
Oui, oui, oui, vas y, fourre mon ti cul de ta semence...
Tu le veux, n'est pas, tu vas l'avoir mon foutre dans ton cul, t'attends que ça, je vais t'inonder avec mon jus, je vais me vider en toi
Oh oui, oh oui, oh oui...s'il te plait...
Pendant que ses coups de reins ralentissaient, il lâcha, la voix cassée par le pic d'excitation qui entoure l'orgasme:
Tiens ma salope, ça vient, ça vient, oui, oui, oui, tiens!... prend ça!... prend ça!... et ça!...
Il était en trains de jouir. Chaque coup de rein, chacune de ses exclamations correspondant désormais à une bonne giclée de sperme fourrée au plus profond de mon intimité. J'étais baisé et comblé, même si j'étais frustré de ne pas l'avoir vu en train de me baiser et de jouir. Il resta en moi pendant quelques instant, j'adorais sentir sa queue me posséder encore après l'orgasme, et sentir la mienne pulser d'excitation.
Quand il sortit de moi, il m'ordonna:
Remonte ton caleçon et retourne toi.
Je le regardais, le torse dégoulinant de sueur. C'était beau. Ce mec, ce canon de mec, s'était vidé dans mon cul après m'avoir ramoné le cul pendant un long moment. J'étais aux anges. Et en plus ce n'était pas fini.
Me voilà allongé sur le lit, le cul cassé et plein de son sperme. Il se mit califourchon assis sur mon torse toujours recouvert par mon t-shirt. Prenant appui sur ses genoux, il enfonça sa queue dans ma bouche. Elle avait à peine perdu de sa vigueur; mais voilà que, caressée par mes lèvres et fouettée par ma langue, je la sentais grossir au fond de ma gorge. Un bonheur sans égal. Je me laissai baiser la bouche à son gré jusqu'au moment où il la retira et, se relevant davantage sur ses genoux, il avança son bassin vers ma bouche pour venir poser ses couilles sur mon nez.
Lèche les!
Je descendis avec ma langue à ses coucougnettes bien pendantes et, un moment durant, ma langue joua avec, procurant à Jérémie un vrai plaisir. C'est indescriptible la sensation de découvrir la géographie érogène du physique d'un beau gosse.
A force de jouer avec ma langue dans son entrejambes, je finis par m'approcher de sa rondelle.
Putain t'es une vraie salope, vas y lèche mon fion...
Et en disant cela, il se retourna de façon que j'aie un accès plus facile à son ti trou.
Continue, vas y, enfonce ta langue bien au fond...
J'étais tellement excité, d'autant plus que je sentais désormais son jus suinter de mon ti trou et couler au long de ma raie.
Je pris ses fesses musclées et je les écartai pour aller encore plus loin avec ma langue.
A un moment je sentis son sphincter se contracter à plusieurs reprises au même temps que plusieurs jets allaient frapper violemment le coton de mon t-shirt et d'autres aspergeaient copieusement mon caleçon, pile autour de cette bosse que formait ma queue.
Il essuya sa bite dans mon t-shirt et il se leva.
Tu devrais y aller, mec, je dois sortir aussi. Il me tendit alors une chemise à passer par dessus mon t-shirt trempé de sa jouissance. Au troisième orgasme, la quantité de jus était impressionnante. Qu'est ce qu'il avait du fourrer alors dans mes entrailles...
Lorsque j'attrapai la porte de sa chambre pour partir, il me lança durement:
Eh mec, si tu veux continuer à venir réviser ici, arrête de me mater en cours, sinon ça va pas la faire du tout!
Ok, je ferai attention.
T'as intérêt!
Salut, à demain...
C'est ça...
Ce soir là, dans mon lit, je me branlai trois fois en reniflant tour à tour sa chemise qui portait l'odeur frais et jeune de sa peau et celui captivant de son parfum et mon t-shirt qui portait, lui, l'odeur intense et délicieux de la virilité de Jérémie.
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